Les histoires fantastiques que vous pouvez télécharger ci-après, je les ai moi-même imaginées et écrites pour vous. J'espère qu'elles vous plairont et vous ferons passer quelques minutes intéressantes. Si vous faites passer ces histoires à vos ami-es, merci de bien vouloir préciser qu'elles sont protégées par des droits d'auteur et que vous devez absolument indiquer leur origine.
Je les ai souvent expliqués à des personnes intellectuellement bien ancrées dans la réalité; aucune ne m'a donné de pistes pour essayer de comprendre ces phénomènes. Personne ne m'indique dans quelle direction chercher l'explication la plus plausible qui soit. Plus j'ai insisté et plus j'ai embarrassé ces personnes qui ne pouvaient me donner d'explication. Désormais, j'ai renoncé. Moi, je mets cela sur le compte de la télépsychie.
Je ne peux pas tout raconter. Il nous arrive trop de phénomènes étranges.
mardi 6 septembre 2016, 09:55 Une histoire vécue par Mme Josyane JOYCE Il était très tôt ce début février 2004, nous habitons encore à Cadenac. Après mon rapide petit-déjeuner habituel, je me suis approchée de la télévision pour regarder un journal de LCI. Pour ne pas réveiller ma fille, je baisse le son au maximum et donc, je ne fais pas de bruit, je m'assieds sur le canapé. Au moment où je vais presser la télécommande, je me retrouve, avec grand effarement dans les airs. Je roule perpendiculairement et à la même vitesse que lui, au-dessus d'un train énorme et long qui roule très vite dans une campagne que je ne reconnais pas de prime abord. Je ressens pourtant, confusément, que cette campagne est celle d'un pays oriental.
dimanche 28 août 2016, 06:59 Une histoire fantastique vécue par Mme Josyane JOYCE J'ai déjà, dans des notes précédentes, raconté quelques étranges histoires qui me sont arrivées. L'une d'entre-elle nous a profondément étonnées ma fille et moi. Nous habitions à Toulouse, impasse Lavidalie, au 4e étage sans ascenseur d'un immeuble très récent. Je donne ces précisions uniquement pour indiquer que notre demeure n'était nullement de ces vieilles maisons qui craquent de partout et qui font croire à certains que des esprits bienveillants ou autres vient secouer leur porte pour attirer leur attention. De fait, nous avons été les premières locataires dans ce logement et nous y avons vécu plus de 17 ans et demi. La scène se passe aux environs de 1988; c'était deux ans avant que ma fille ne tombe gravement malade et ne puisse plus grimper les escaliers. Elle avait donc dix-huit ans et comme elle est née l'année de mes vingt ans, j'approchais de la quarantaine. Je n'avais pas encore mon émission sur Télé-Toulouse (en fin d'année suivante) mais j'étais déjà installée professionnelle de voyance depuis 1983.
Chat!
mercredi 27 juillet 2016, 14:35 Charlotte presse le pas et serre plus fort la cage grillagée dans laquelle miaule le petit chat à fendre l'âme. Dans leur jardin, les gens se retournent et la dévisagent d'un air soupçonneux: est-ce un bourreau d'animal? La jeune femme sourit de toutes ses dents afin de montrer un visage avenant. Eviter qu'on l'interpelle pour savoir pourquoi ce chat-là n'est pas content de son traitement. "Quel caractère, ce chaton!" pense-t-elle un rien mécontente. Peut-être que cela n'ira pas?! Et, dans ce cas, pourrais-je échanger l'animal“? Tout en réfléchissant, elle a franchi rapidement les trois cents mètres qui la séparaient de la maison de sa sœur Anne. Un camion de déménagement, bloquant le passage à l'entrée, l'a obligée à se garer un peu plus haut de la rue où demeure sa grande sœur. D'habitude, elle peut se garer dans le jardin de la “Villa aux Roses“, nom pompeux attribué par leur tante Jeanne dans les années trente.
samedi 30 avril 2016, 10:49 Valérie est épuisée. Deux longues semaines déjà que Jonathan est dans le coma à l'hôpital des Enfants de Toulouse. L'enfant était sur un passage pour piétons et a été renversé par un chauffard ivre et bourré de cannabis. Depuis cet affreux moment, il est dans cet état végétatif. Il n'a eu pourtant que de très grosses contusions aux jambes et aux bras. Il n'a aucun traumatisme crânien. Personne ne sait pourquoi l'enfant est dans le coma et aucun médecin ne peut la rassurer sur une possibilité de sortie de cet état grabataire. Il n'est même pas intubé, juste des perfusions nourricières qui trouent son bras gauche. Il repose dans le petit lit de l'hôpital aussi blanc que ses draps. Paupières baissées, couleur de la peau normale. Un léger souffle passe entre ses lèvres sèches, un peu violettes. Toutes ses constantes sont normales et ce coma est totalement incompréhensible à la gent médicale qui se perd en conjectures.
Portez votre attention sur le fait que la rédactrice ne connaît pas la problématique du coma. Cette histoire est une pure fiction totalement imaginée.
par Mme Josyane JOYCE Elodie est gendarmette depuis deux ans seulement. Elle a 23 ans, elle est très jolie et très féminine dans son uniforme qu'elle repasse avec soin tous les jours. Dans sa brigade de Fronton, un parmi ses collègues, nommé Lucien, quadragénaire et vieux de la vieille dans la maison, fait partie de la Société Protectrice des Animaux. Parce qu'il est fou des chiens. D'ailleurs, il possède un couple de danois, nerveux, racés, splendides, magnifiques! Il les a bien dressés, ils savent ne pas aboyer et rester à leur place. Parfois, quand il est de congé, Lucien vient à la gendarmerie avec ses chiens. Heu…. ils tiennent de la place… dès qu'ils sont là, les pièces de chaque bureau rétrécissent à vue d'œil.
A suivre, d'autres histoires....
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